L'Eglise

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L’Eglise

C’est à mon Eglise que je m’adresse…

… à l’Epouse bien-aimée de mon Cœur ! Je veux qu’elle sache combien je l’aime et veille sur elle !
Aujourd’hui, elle est en grand danger, car les forces du mal l’oppressent et pèsent lourdement sur elle. On veut l’éteindre, l’anéantir complètement et, en fait, elle vacille et chancelle…
Mais aujourd’hui, j’interviens pour la sauver…

Mon Cœur souffre ! Il est blessé et déchiré… Je suis blessé, en ce sens que l’on ne connait plus mes dons, on mutile mon Cœur. Et pourtant ils sont le rayonnement, son auréole de gloire.
Ne l’oubliez pas ! Ne les méprisez pas ! C’est le fondement, la base et la richesse de mon Eglise. C’est là la fécondité de votre Mère, la sainte Eglise qui a engendré tant de saints et qui vous est donnée et montrée. Que deviendrez-vous sans ce riche enseignement, richesse éternelle et infinie pour les âmes ?

La couronne de gloire de mon Cœur est aussi la couronne de gloire de l’Eglise, mon Epouse bien-aimée. Et c’est à elle que je demande la glorification de mon Cœur.
Tu aimes contempler ainsi mon Cœur, mais vois à sa place la sainte Eglise ! (Comme en surimpression). Tu la vois tout auréolée des rayons de ma gloire, ils forment sa couronne, mes dons, et ainsi elle ne peut périr. Ils sont phare et guide pour le monde.
Rendez-moi mes rayons et vous rendrez les rayons à l’Eglise. L’Eglise et moi c’est pareil !

Vous êtes chargés de ma gloire et du triomphe de la sainte Eglise. L’Eglise triomphera sur ma gloire, et je tirerai ma gloire du triomphe de mon Eglise !

Jadis de ma Croix, je demandai à mon petit Pauvre d’Assise : « veux-tu m’aider à rebâtir mon Eglise ? »
Aujourd’hui, je pleure sur les ruines du monde et de mon Eglise, et je demande encore : voulez-vous m’aider à rebâtir mon Eglise sur ma Croix ?
Voulez-vous un monde nouveau ? Prenez pour exemple mon fils François, si imprégné de l’esprit de ma Croix ! Prenez-le comme saint protecteur, et je vous dis : la Croix fera refleurir l’Eglise et le monde. Je rebâtirai mon Eglise avec ceux qui seront restés fidèles à mon Esprit.
Née de la Croix, l’Eglise renaîtra de la Croix, et avec elle renaîtra le monde.

L’Esprit-Saint est au sommet de l’Eglise, et c’est lui qui la guide.
Aujourd’hui, il vous montre la Croix. Et c’est vers elle qu’il conduit l’Eglise. L’Eglise de la Croix, mon Eglise engendrée dans la souffrance, dans mon offrande d’amour.

Je la veux toute Charité et Miséricorde…

L’Eglise de l’Esprit-Saint, lumière et vérité ! Toutes fausses doctrines écartées, elle sera lumière et vérité pour le monde, et elle guidera les peuples.

Trop d’esprits de ténèbres l’encombrent ! Ils sont imbus de leur esprit. Je veux mon Eglise, comme elle est sortie jadis de mon côté transpercé, revêtue de l’esprit de la Croix.

Je la veux évangélique pure et belle de mes enseignements, répandant ma doctrine.
Je la veux riche et féconde de l’Esprit de DIEU, afin qu’elle engendre de nombreux saints.
Je la veux aimante envers ma Très Sainte Mère, qui est sa Mère et qui la vue naître.
Je la veux rayonnante des dons de mon Cœur.
Je la veux unificatrice, ayant pour devise : Amour et Unité.
Je la veux révélatrice de DIEU et éducatrice des peuples.
Je la veux toute charité et miséricorde, à l’image du DIEU-Amour.
Je la veux pure et belle, comme l’épouse parée pour son époux.

Oui, l’Eglise est un don de mon Cœur, et elle renferme en elle tous mes dons qui forment sa couronne, sa richesse et sa splendeur. Elle a tout mon amour. Je la porte dans mon Cœur et je suis son Cœur. La lumière de ma Croix la fera resplendir, la glorification de mon Cœur la fera triompher.

L’Amour et l’Unité seront votre force…

Vous déchirez mon Cœur ! Je souffre de la désunion de mon Eglise. Votre désunion fait le jeu de Satan qui ne cherche qu’à diviser pour régner. L’Esprit-Saint ne cherche qu’à unir, il est le lien d’amour et d’unité.
Ne vous laissez pas diviser. Ne mettez pas les armes dans les mains de Satan. Ne jugez pas vos frères. DIEU seul sait et juge.
Je veux ramener l’unité dans mon Eglise par ma Croix qui est vérité et unité. Toute l’unité de mon Eglise doit se refaire autour de ma Croix.

Aujourd’hui, ma Croix doit vous éclairer, vous montrer comment on vous a trompé en l’effaçant. C’est l’œuvre de Satan et de ses suppôts. Or je vous dis : l’Eglise et le monde reposent sur ma Croix. On a effacé ma Croix de partout, et l’Eglise et le monde sont terriblement ébranlés. Qui peut le nier ?
J’attends de mon Eglise qu’elle remette ma Croix dans le monde, qu’elle parle de ma Croix.
Que mon Eglise, l’Eglise de lumière, l’Eglise de l’Esprit-Saint que je rebâtirai sur ma Croix, retrouve le vrai visage de Dieu, le sceau de Dieu sur toutes ses œuvres : l’amour et l’unité…

J’ai donné à mon Eglise et à mes pasteurs la redoutable tâche de guider le peuple de DIEU. Satan déploie actuellement tous ses efforts pour la détourner de sa voie et de son but.

Mais j’ai aussi donné à mon Eglise mon Esprit et ma Croix, sa doctrine d’Amour qui est lumière et vérité pour la guider.

Je veux établir ici-bas mon règne de royauté.
Et c’est de mon Eglise que j’attends la glorification de mon Cœur.

Que mon Eglise soit une ! Que ses membres forment un seul bloc autour de son Chef visible, mon Vicaire établi à Rome ! L’amour et l’unité seront votre force qui fera la désunion et la perte des forces du mal.

C’est de la France, ma fille aînée, que j’adresse ce message à mon Eglise. Je n’ai fait que vous rappelez la sainte doctrine de mon Evangile que je veux voir refleurir sur la terre. Puisez aux richesses qui font la tradition de ma sainte Eglise !

J’attends d’elle sa réponse d’amour…

Je demande à mon Eglise de poursuivre avec moi la Rédemption, de s’associer pleinement au divin Crucifié et d’y associer tous les membres de mon Corps mystique.
Je lui demande de fortifier sa base et d’affermir sa doctrine dans le mystère de la Rédemption qui doit la délivrer des mains de ses ennemis.
Je lui demande de prêcher la Rédemption que l’humanité oublie et de la conduire vers ce grand mystère qui doit ouvrir l’ère du Saint-Esprit.

Comprends-tu comme tout repose sur mon Eglise et vois-tu comme je veux me l’associer ?

J’attends d’elle sa réponse d’amour, j’attends d’elle sa fidélité, comme une épouse parfaite le doit à son époux, j’attends d’elle son Fiat. Ainsi l’l’Eglise co-rédemptrice, parfaitement unie à son divin Epoux, le Rédempteur, ouvrira à l’humanité l’ère de l’amour, de la miséricorde et de la paix, l’ère du Saint-Esprit !...

L’ère du Saint-Esprit sera aussi l’ère de ma Très Sainte Mère.
Le monde sera sous sa douce protection et aura compris les secrets de son Cœur Douloureux et Immaculé.
Mon Eglise lui rendra dans son sein la place qu’elle aurait toujours dû avoir, car c’est par sa sainte influence que l’Eglise donnera au monde beaucoup de belles âmes. Les saints de mon Eglise seront revêtus de la splendeur et de la grâce mariale. Ils seront marqués du sceau de la Vierge très sainte. Pureté, humilité, charité et esprit d’oraison feront leur sainteté, toutes ces vertus qui – en ces temps – ont disparu du monde.
La Vierge Marie reflétera sa beauté et sa haute sainteté sur l’Eglise et sur le monde.

Le monde et spécialement mon Eglise loueront ses vertus. Dans l’Eglise de lumière, ma Mère resplendira. Elle en sera le pur joyau.

O mon Eglise comme tu es belle…

Ecoutez bien ceci : afin de détruire l’Eglise, on s’est attaqué à ma Croix. On vous a montré la Croix comme un abime de douleur, un martyre sans nom, un spectacle effroyable, un acte répugnant à la sensibilité humaine… Surtout dans un monde où la souffrance dérange, où seule la puissance attire…
Pour vous perdre, Satan vous montre la Croix sans l’Amour… N’oubliez jamais que c’est une Croix glorieuse, victorieuse, lumineuse, car transfigurée par l’Amour qui a fait naître l’Eglise, et non un instrument de torture, comme Satan veut le faire croire. Tout est là.

Mon Eglise est née de l’Amour, de mes souffrances d’Amour. On a effacé l’Amour de vos esprits, de vos pensées. Mais mon Eglise renaîtra de l’Amour.
En vérité je vous le dis : transfigurée par l’Amour, la Croix est lumière. Et par ma  Croix l’Eglise redevient amour et lumière du monde, des peuples, des âmes, transfigurées par le divin Crucifié d’Amour.

O mon Eglise, comme tu es belle !
D’Eglise militante que tu es, tu te rapproches de si près de l’Eglise triomphante dont tu es le pur reflet,  jusqu’à ne plus faire avec elle, par la continuité qu’une seule et même Eglise, la vraie, celle de l’amour et de l’unité.

                                                                     (Le grand message de la Croix)

L’Eglise est vivante…

Sans l’Esprit-Saint, l’Eglise ne serait plus. Il lui conserve une éternelle jeunesse. Aussi, que l’on ne craigne pas de garder la tradition, c’est sagesse aux yeux de DIEU.

La tradition, c’est la colonne de l’Eglise. Il faut maintenir la colonne en bon état, la garder forte et belle, lui garder sa force. Elle est faite de sainteté mêlée au sang des martyrs, elle est scellée dans l’Amour.
Beaucoup travaillent à ébranler cette colonne, mais je suis là, et leur force se brisera sur la colonne, les laissant inertes… et la colonne qui est la tradition aura traversé toutes les tempêtes, amenant au port le navire.
L’Eglise est en continuelle naissance, bien qu’elle repose sur le roc de la tradition. L’Eglise est vivante, et c’est ce qui fait toute sa force et sa beauté.
Prie sans cesse l’Esprit-Saint pour l’Eglise. C’est lui qui l’anime, la guide et sanctifie ses membres.
L’Eglise est faite pour être un immense foyer de charité. Elle est par Moi lumière qui brille dans les ténèbres. L’Eglise est faite pour être le berceau de mes saints. Elle est la Mère nourricière de mes enfants, chargée de les amener au port.
Aujourd’hui, mes ennemis sont les ennemis de l’Eglise, et les pécheurs sont ceux qui offensent mon Cœur. Il te faut toujours prier pour l’Eglise et pour les âmes. Le monde vieillit, mais ses besoins ne changent pas !

L’Eglise  est souffrante du manque de pasteurs. Mais quand je susciterai des pasteurs selon mon Cœur et mon Esprit, toute souffrance aura disparu, et ma sainte Epouse rayonnera de beauté et de jeunesse. Elle sera joie et sainteté parce qu’elle aura connu la Croix.

                                                                           (Viens Esprit-Saint)

Par mon message d’Amour je nourris votre cœur…

J’ai une bien-aimée…
Elle est souffrante, aussi je viens à son chevet. Je parlerai à son cœur et elle m’entendra… Je lui dirai des mots d’Amour, alors son cœur de nouveau s’enflammera.
Alors je la prendrai par la main, lui disant : « Lève-toi, ô ma bien-aimée, tu n’es pas morte, mais tu dors ».
Connais-tu ma Bien-aimée ?
C’est mon Eglise et personne ne me la volera ! Je parle à son cœur et elle se lèvera.

Elle reconnaitra le langage de son Epoux. C’est un langage d’Amour et de douceur, mais c’est un langage de Vérité.
Ma Bien-aimée se lèvera, je la prendrai par la main et, comme jadis pour la fille de Jaïre, je dirai : « Faites-la manger ».
Aujourd’hui, je dis : PRIERE et CHARITE, voilà la nourriture de mon Eglise.

Ma Bien-aimée est sainte et pure, mais tous ses membres ne le sont pas. En beaucoup, il manque cette nourriture qui donne force au Corps : La prière et la charité. Par mon message d’Amour, je nourris votre cœur. Vous avez  « l’Eau de Vie » en abondance. Alors mes tout-petits, je vous dis : nourrissez votre cœur de prière et de charité, et vous ferez « LEVER » mon Eglise.
Que vous enseigne ma Croix ? Amour, prière, sacrifice… Que vous ai-je précédemment demandé ? Amour, prière, sacrifice… De quelle nourriture a besoin aujourd’hui mon Eglise pour se lever ? De prière, d’Amour et de renoncement ; ce renoncement qui combat l’égoïsme.
Mais c’est à chaque cœur en particulier que je demande cela, car tous vous êtes membres d’un seul Corps, et chacun de vous formez mon Corps.

Mon Cœur et ma Croix feront se lever l’Eglise !
Mon Cœur et ma Croix sauveront le monde !
Prie l’Esprit-Saint !

C’est un filet d’Amour que je lance sur le monde. A mon Eglise de répondre… J’ai dit : tout doit venir de la tête, mais tout se fera par le cœur ! Restez dans l’obéissance ! Je vous bénis.

Vous aurez pour l’Eglise le même amour que vous avez pour moi…

Je viens pour restaurer mon édifice, aussi comprends bien que je m’attaque à chaque pierre…
Ne critiquez pas mon Eglise, vous blessez mon Cœur ! Ne l’accablez pas de tous les maux, ne la critiquez pas ! Elle est mienne et je l’aime. Restez soumis quoi qu’il arrive à son Chef suprême. Il est celui que je veux…

Aussi je vous le dis, n’attaquez pas mon Corps, mais dites-vous plutôt : je suis membre de ce Corps, et c’est moi qui compose ce Corps… Comment suis-je ? Suis-je une belle pierre pour l’embellir ? Suis-je lumière pour l’éclairer ? Suis-je charité pour le réchauffer ? Ai-je assez de foi pour le soutenir, assez de force pour le défendre ?
Dites-vous : serai-je cette pierre qui défigure l’édifice ? Ou ce membre qui, par ses agissements, donne mauvaise figure à la Bien-aimée ? Ou encore ce mauvais chrétien qui ne suit plus la doctrine du Christ, mais sa propre doctrine qui l’arrange ?

Vous aurez pour l’Eglise le même amour que vous avez pour moi, car elle est mienne. Regarde cette vérité : ceux qui m’aiment les plus sont ceux qui aiment le plus mon Eglise. L’Amour qu’ils ont pour moi est à la mesure de l’Amour qu’ils ont pour elle.    Mon édifice est composé de pierres. Mais je vous dis : mon édifice est composé avant tout de cœurs ; car je changerai vos cœurs de pierre en cœurs de chair.
J’ajoute toujours de nouvelles pierres à mon édifice (les convertis) et ainsi il s’élève toujours plus haut… Les convertis sont ces belles pierres toutes blanches et toutes neuves qui font s’élever l’édifice.
Mais vous qui n’êtes pas des convertis, mais des chrétiens de longue date, chez qui la foi a pris naissance sur les genoux de vos parents, je vous dis : vous êtes la base de l’édifice ; vous devez en supportez tout le poids…
Alors plus qu’à d’autres, je dis : soyez fermes dans la foi, ferme et solide dans la Vérité… Les fumées de l’enfer ont passé sur l’édifice et l’on noirci… Alors je viens pour polir et faire briller, afin que l’édifice retrouve toute sa splendeur.

Ecoute battre le cœur de l’Eglise…

Sais-tu ce qui manque à l’édifice, pour retrouver sa beauté primitive ? La spiritualité. Mon Eglise est un édifice tout spirituel. Retirez-lui le spirituel, c’est-à-dire ce qui fait sa vie, et l’Eglise s’écroulera. Je viens pour sauver mon Eglise. Des voleurs se sont introduits dans la bergerie. On vous a volé la spiritualité. On vous a coupé de la Vie avec moi. Je refais mon Eglise par la spiritualité de la Croix que je veux étendre, répandre dans tous les cœurs. Ainsi regarde ! L’Eglise se refait par la Croix, et ses bases sont l’Amour, la prière, le sacrifice. Mon Eglise est sortie de mon Cœur transpercé, et c’est un retour à sa Source que je lui fais refaire. Elle renaîtra de mon Cœur transpercé.
Je vous redis : mon Eglise, c’est vous ! Mon Corps mystique, c’est vous ! Aussi ne critiquez pas mon Eglise, car c’est vous juger vous-même. C’est à moi seul qu’il appartient de juger et de retrancher les membres gangrénés… Moi je viens pour guérir. Vous, vous devez aimer, obéir et vous soumettre à l’autorité.

A toutes les âmes et à chacune en particulier, je dis : « Viens à moi, reste en moi, je veux te serrer très fort sur mon Cœur, afin que tu entendes ses battements… » Puis je dirai : en ces battements, écoute battre le cœur de l’Eglise…

Si tu m’aimes vraiment, alors tu aimeras mon Eglise. Tu lui seras fidèle et soumise. Ma Vie te viendra par elle, et c’est toi qui seras sa Vie. Pleure sur ceux qui la défigurent ou attentent à sa vie, mais réjouis-toi de ceux qui l’embellissent.
Prends le Sang de la Rédemption et offre-le pour l’Eglise. Alors, regarde le Père : il fait dans l’Eglise comme une nouvelle effusion de mon Sang.

L’Eglise doit être… un modèle d’humilité, de charité et de prière…

Beaucoup veulent refaire l’Eglise et, pour cela, ils se « coupent d’elle ». C’est l’unité qui fait l’Eglise. C’est dans l’unité que se fera sa beauté. C’est l’Amour, l’obéissance qui font l’Eglise et soudent les membres entre eux.
Demande, pleure, gémis après cette Eau de la Vie ! C’est un trésor immense et éternel que Dieu met à votre disposition. C’est à mon Eglise que tu demanderas ces trésors de la Vie. C’est en mon Eglise que tu viendras les puiser.

Ma Très Sainte Mère a été un chef d’œuvre d’Amour, de prière et de sacrifice. L’Eglise doit être comme ma Très Sainte Mère, un modèle d’humilité, de charité et de prière.
Dans sa marche à travers les siècles, l’Eglise va vers son couronnement… Alors je la présenterai au Père, et DIEU clôturera le temps. Et les mystères de DIEU se fermeront ici-bas pour se poursuivre dans l’éternité  dans une divine clarté, une grandiose vision qui fera la joie des enfants de DIEU. Je ne peux te parler davantage de mes mystères, car ceux-ci échappent à la compréhension humaine…

Marie a un grand Amour pour tous les hommes et un grand Amour pour l’Eglise. Elle tient cet Amour du Cœur de DIEU et pour que sa triple Maternité s’accomplisse, elle désire que tous les hommes rentrent dans l’Eglise et que l’Eglise enfin rentre dans le Cœur de DIEU. (Alors le Cœur de l’Epoux et de l’Epouse ne seront plus qu’un).

                                                                                                            (J’ai Soif)

Respectez la Maison de mon Père…

Jadis Je demandais : qu’avez-vous fait de la maison de mon Père ? Aujourd’hui Je pose la même question. Si vous êtes ses fils, aimez-vous le rencontrer dans sa maison, là où habite sa gloire ?
Alors, mes petits, respectez ce lieu ! Qu’il soit un lieu de silence, de prière et de recueillement car là est l’Amour, là est la gloire, là doit être le respect.

Dans la maison de mon Père soyez charitable envers DIEU qui mérite toute votre attention et soyez charitable envers vos frères ! Vos vains bavardages troublent leur recueillement.

Respectez la maison du Père, elle est pour tous ses enfants. Que chacun s’y sente accueilli, mais seul, face à DIEU, dans le silence du lieu qui doit favoriser le silence du cœur. Je veux ce lieu paisible car avec DIEU règne la Paix.
Entrez et faite silence car ce lieu est grand. Laissez à la porte le monde et ses bruits, mon Eglise est le ciel sur la terre, entrez, pour vous approcher de DIEU, entrez pour vous sentir enveloppés de la gloire de DIEU.
Entrez pour vous mêler au cœur des anges et chanter les louanges de DIEU. Ne profanez pas ce lieu car DIEU y habite en permanence avec sa cour céleste. Ayez foi en ces paroles ! Respectez la maison de mon Père, glorifiez le Père.
Viens dans ma maison et si ton cœur possède l’Amour alors il possédera aussi le respect, car les deux habitent ensemble ; et ainsi tu verras la beauté de ma maison et Je te révélerai la gloire qui y demeure. C’est une gloire cachée mais que peuvent saisir mes tout-petits : les humbles, les purs. Je remercie le Père de ce qu’il dévoile ces choses aux tout-petits.

Ma fille, regarde mon Eglise…sa splendeur est encore cachée…

C’est mon Cœur et ma Croix qui sauveront mon Eglise. J’ai dit : « Les forces de l’enfer ne pourront rien contre elle ». Remercie le Seigneur.

Malheur à ceux qui se disent d’Eglise et combattent son chef.
Malheur aux désobéissants, aux orgueilleux.
Malheur aux diviseurs et aux insoumis. Qu’ils se reprennent pendant qu’il est encore temps.

Ma fille, regarde mon Eglise…
C’est la perle, le trésor encore caché du monde, mais qui vient pour sauver le monde. Elle vient au temps qu’il faut, au milieu du chaos du monde, mais elle vient au-devant du monde… Le monde ne la voit pas encore car elle n’attire pas encore l’attention du monde et sa splendeur est encore cachée. Mais regarde, le monde vient à elle car il a besoin d’elle. Et sa lumière peu à peu couvre le monde…

Beaucoup oublient que l’Eglise est mon Corps Mystique et que l’attaquer c’est attaquer DIEU, c’est blesser Jésus. Mes petits, mes tout-petits, groupez-vous autour de mon chef visible, autour de ses pasteurs restés fidèles à mon Esprit.
L’Esprit-Saint est la vie de l’Eglise. Il est sa force, unissez-vous, l’Unité sera votre force.

                                                                                                 (Abba Père)

Mon Eglise est ce grand astre lumineux…

Ma fille, prends comme modèle ma Mère. Que l’humanité regarde, qu’elle l’aime comme on aime une bonne mère et DIEU sera Glorifié.
Le jour de la Pentecôte, réunie au cénacle avec mes apôtres, elle devenait Mère de l’Eglise, de cette Eglise naissante, faible et fragile. L’Esprit-Saint survenant dans le cœur de l’homme et éclatant dans le Cœur de Marie, son Epouse, devenait le Cœur de mon Eglise, lui communiquant soutient et force pour traverser les siècles, et Marie en devenait la Mère.

Le Cœur de Marie a glorifié DIEU, il s’est embrasé sous l’action de l’Esprit-Saint, et la Vierge toute pure a reçu, en recevant l’Esprit, elle a reçu l’Eglise dans son Cœur. Elle a reçu ce cadeau de la Trinité Sainte avec la mission de protéger l’Eglise jusqu’à ce qu’elle arrive au Port.

Regarde le ciel, quand il est pur, il est tout étoilé. Regarde à présent mes œuvres. Elles sont ces étoiles qui brillent au firmament. Certaines te paraissent plus grandes, plus grosses, plus brillantes que d’autres, plus éloignées peut-être… Et pourtant, ne rendent-elles pas toute gloire à DIEU ?
Le ciel est mon Eglise, et j’allume en elle des étoiles qui brillent et brilleront éternellement. Je lui prépare une grande Lumière qui va la faire resplendir, mes œuvres brilleront en elle comme brillent ces myriades d’étoiles, et éclaireront le monde.

Oui, Satan hait mon Eglise car elle est mon Corps mystique. Elle est la puissance des cieux car j’ai mis en elle ma puissance divine. Elle est mon Corps broyé, crucifié, malmené, ébranlé, mais en elle demeure la Puissance de mon Esprit-Saint. Elle est œuvre de DIEU et non œuvre des hommes. Elle est cette étoile brillante qui éclaire toutes les autres, toutes ces étoiles qui doivent vivre attachées à elle, vivre de sa Vie, de sa Lumière.
Satan ne vise qu’à l’éteindre afin d’éteindre toutes les autres et de plonger l’humanité dans les ténèbres.
Oui, mon Eglise est ce grand Astre lumineux. Elle est ce que j’aime le plus sur la terre.

                                                                                  (L’œuvre accomplie de DIEU)